une liberté offerte voir imposée est un esclavage, la seule vrai liberté est celle qui s'acquiert.

JP, libre

C’était une soirée en boite, les fameuses soirées étudiantes infirmières si réputées qui ont tant fait rêver mes anciens collègues.

Rendez-vous à 23h30 avec quelques uns de la promo, sur la piste à minuit et c’est parti pour 3 heures de danses et de fêtes. Parfois un verre à la main, parfois une bouteille qui tourne. Quels importance de savoir danser ou non, tout le monde s’amuse et ce n’est pas un concours.

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Pris dans la musique, le temps passe vite et on ne sent pas la fatigue venir. Une bonne manière de décompresser juste après la première évaluation, alors c’est le moment de faire un petit bilan de tout ça.

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Voilà donc un peu plus d’un mois que la formation a commencer, et que je me suis vraiment retrouver dans le bain, à devoir apprendre et maîtriser un tout nouveau domaine, aucun rapport entre le bâtiment et la santé.

A devoir m’acclimater à un nouveau rythme, aussi. Fini les soirées ou on rentre chez soi sans rien à faire, les week-ends et les vacances qui sont synonymes de loisir. Aujourd’hui il y a des cours à apprendre, des recherches à faire sur le net (heureusement qu’il est là d’ailleurs), avec l’échéance qui tourne, une horloge allant d’évaluation en évaluation. Une des première constatation, c’est que la vie étudiante demande beaucoup plus d’investissement que la vie salariée.

Il y a aussi la promo. C’est clair on s’amuse plus avec les gars de la vingtaine qu’avec les trentenaires et leur vie de famille et leurs enfants et leur maison en construction et leur dernières magnifique opération professionnel et leur… bon je m’arrête là.

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Je ne parle pas pour vous Gégé, Sophie et d’autres ;) vous me comprenez parce que vous connaissez la même chose et pour vous comme pour moi il n’y a pas de cap fatidique des 30 ou des 40, les meilleurs sorties que j’ai faites c’étaient avec vous. La seule chose qui me manque réellement de Nantes, ce sont nos ballades « à l’aventure » et nos tournées des pubs et des restos ensembles, nos découvertes des nouvelles zones comme les hangars à bananes. Ah si tous les trentenaires étaient comme nous… Parenthèse refermée.

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Revenons au bilan. Il y a aussi le rythme quotidien qui s’est mis en place, donc levé 6h30, RER à apprendre des fiches sur les cours précédent ou à lire Métro, selon l’humeur du jour. Cours partagé entre la prise de notes et, parfois, les mots croisées de Métro justement. Et retours, comme à l’aller, avec une pause repas à midi. 7 gars pour 60 filles et il paraît que nous devrions être galant et les laisser passer…. Ouaaaaarrrrrrffffffff

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Il y a aussi le doute bien sur. Etait ce un bon choix que j’ai fait, avoir lâché un métier que je maîtrisais, où j’étais reconnu professionnellement par mes collègues et la direction (reconnaissance verbal s’entend, les primes et promotions c’est une autre histoire). En fait, un métier ou j’avais du confort pépère, pour tous reprendre à zéro et changer de cap comme ça…. Ces doutes, je sais qu’ils seront là jusqu’à ce que j’ai mon diplôme, mais au fond de moi je sais que c’était le bon choix.

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Bon retour sur la piste,  je ne pensais pas à tout ça en dansant, je dansais juste. Et le lendemain en cours, je riais de voir tout les ptis jeunes affalé sur leur siège et dormant épuisé. L’expérience à ça d’intéressant qu’elle apprend à se gérer et à s’économiser pour s’amuser et tenir la journée suivante.

Dans trois jours on remet ça, et pour la nuit entière.

Etes vous un connard prétentieux? moi oui à 42 %

Choisir, c'est un renoncement partiel

...

Ne pas choisir c'est un renoncement global

Fais toujours ce qu'ils n'attendent pas. Sème la confusion chez l'ennemi, déséquilibre le.

Des occasions se présenteront. Sache les reconnaitre, agis dessus.

Le repos est une arme

Jason Bourne

New Zealand suffered its worst World Cup performance when being eliminated 18-20 in the quarter-finals by a stoic French team at Cardiff's Millennium Stadium on Sunday (NZT).

The French produced yet another stunning performance in the vital stages of the tournament to save their own World Cup campaign and to send New Zealand on another four year search for the Holy Grail.
 

Traduction : on les a bouffééeeeeeeeee

Bon, j'exagère un poils, on a gagné de peu, et les blacks sont toujours aussi impressionnants quand ils se mettent en marche

Lundi 24 septembre

Voila le premier jour de formation, une nouveauté pour moi. Il y a quelques mois, j'étais encore un décideur au niveau professionnel, même si ça n'a jamais été vraiment reconnu par mes patrons. A gérer des contrats de quelques dizaines de milliers d'euros, à répondre à des appels d'offre. Ou à ne pas y répondre d'ailleurs. Et voila que je vais commencer une formation d'infirmier, 3 ans d'étude ou le travail principal consiste à ecouter ce qu'on nous dit et à réfléchir selon la direction donnée après 6 ans dans le bâtiment.

D'abord le RER C jusqu'à Massy, puis le RER B jusqu'a Denfert. Et bien sur du stress, qu'est ce que je fais là, est ce que je n'ai pas fait une erreur, est ce que je n'aurai pas du garder mon ancien travail et mener une vie pépère sans me fatiguer, levé tard, rentrer tôt chez soi le tard, enfin, la vie classique d'un gars démotiver par son boulot. et qui n'a pas d'autres comptes à rendre à ses chefs que la facturation mensuel voir annuel. Bon passons, le choix est fait depuis longtemps et on ne peut pas revenir en arrière de toute façon. - et même si je le pouvais, je ne le ferais pas - donc après six ans comme diagnostiqueur amiante, avec des responsabilités techniques et commercial, me voila en première année en IFSI - à lire comme un mot et non I F S I, il faut connaitre un peu le jargon infirmir voyons c'est mieux pour le style - . Et aujourd'hui, c'est le premier jour, l'avancé ves l'inconnue.

En esperant qu'à 34 ans, je ne serais pas le papy de la promo, je ne me sens pas l'ame d'un vieux moi non mais ! Bon je suis arrivé avec une heure d'avance devant l'école. si Yannick (un ancien colegue) me voyait, il serait pété de rire. ces derniers mois j'avais plutot tendance a arriver au boulot une heure après tout le monde pour repartir une heure avant. Un chti café, un tour dans la quartier - il faut repérer les bons coins - un peu d'attente devant la grille. Je ne suis pas le premier arrivé. un autre gars se tient à dix metres, également en train d'attendre le début. Le temps passe, et hop c'est l'heure.

Allez les enfants en rang deux par deux et on se donne la main aaaaaahhhhhhh ouf non ce n'est pas ça ! je veux bien faire une crise de jeunisme mais ya des limittes quand même ! Tiens, j'espère que ce n'est aps la crise de la trentaine (ça existe ça ?) qui m'a fait tout plaqué ainsi.

Et voila la réunion d'information, les moniteurs qui défilent dans la salle et se présentent, en sachant que nous ne retiendrons pas la moitié de ce qu'ils nous racontent. du moins pour cette première réunion.

tiens il y a des regroupement amusant : la promo fait 74 personnes, dont seulement 8 ou 9 gars... et bien même si nous ne nous connaissions pas auparavant, bizarement nous sommes tous assis ensemble. et nous resteront groupé pendant toute la journée. alors messieurs, peur de ces demoiselles ? voyons elles ne vont pas vous manger, ou sont les fiers mâles riant de leurs blagues bien grasses et commentant la hauteur des mini jupes ? pas ici en tout cas !

Apres les discours et présentation usuels, les papiers adminsitratif, il faut s'y habituer nous sommes au millénaire du papier. et voila la première journée qui se termine. Poignée de mains entre les gars de la promo, l'union fait la force dans une telle minoritée.. Et voila retour chez chacun chez soi, la première journée est passé. Pas si impressionnant que ça de reprendre des etudes, mais ce n'est que le début.

Ces quelques mots juste en réponse aux différentes personnes qui me demandent comment ça s'est passé. voila il n'y a qu'a lire, la suite pour plus tard. salut à tous.

Voila un bon moment que je n'étais pas venu faire de mises à jour. Pris par le déménagement, de la paperasse encore et toujours, et plein d'autres choses

Les choses se sont concretisée, lundi je commence la formation d'infirmier. Cela faisait 8/10 ans que je travaillais dans le milieu du bâtiment, et me voila de nouveau étudiant. ou plutot, en formation professionnels. les cours sont les memes, les profs aussi, avec les etudiants, mais un statu administratif différent. c'est ce qui me permet d'avoir de quoi vivre durant la formation .

Bon comme tout bonne été, il fallait bien manger.

En ville...

Où à chateaubriand, avec ma tres chere Gégé à qui je dois beaucoup. Un repas normal quoi, du foie gras accompagné de raisins revenu dans un vin moelleux, accompagné d'un vin de l'orangerie

Enfin après ça, il fallu faire les cartons

Et en avant pour Paris, changement de cap, changement de lieu de vie...

Y en a un qui triche là

coucou les frangins

Et voila, ma vie nantaise se résume à un appart vide, un camion plein et des expériences, des gens rencontrés, des amitiés créées. le plus importants en fait.

Au départ, c'était un journée tranquille sur l'île de Noirmoutier

Bizarre ce panneau...  comme si quelqu'un allait avoir l'idée de stationner en pleine mer...

Arf bah yen a eu...  Oups...  c'est ma voiture !

Pour la conclusion de la ptite histoire, je suis arrivé a temps, l'eau n'avait pas encore touchée le moteur et elle a démarré au quart de tour.

On connaissait la toxicité de l'amiante des les années 1900... il a fallu attendre pratiquement 2000 et des dizaines de milliers de victimes pour qu'enfin, la population n'y soit plus exposé avec des mensonges rassurant... et tout ça pour une question de fric et de profit... tant d'incubation entre 20 et 40 ans avant que la maladie ne se déclare.

La première loi d'interdiction des peintures au plomb date de 1900 environ. elle n'a jamais été respecté, pareil pour une question de fric... et il a fallu faire une nouvelle loi en 1948, qui enfin a été suivi, pour stopper ce probleme... résultat, du saturnisme chez des enfants, des vies gachées...

A chaque fois, l'état, conscient des problèmes, et que ce soit de droite ou de gauche, a été plus préoccupé par la sauvegarde des bénéfices des industriels que par la santé publique.

Aujourd'hui beaucoup de questions se posent sur les téléphones portable... aucune précautions n'est appliqué, les etudes parlant de ces problèmes sont soigneusement occulté... est ce que on n'est pas en train de nous refaire le coup de l'amiante ? attention il ne faut pas toucher aux sacrosaints profits, et tans pis pour la santé du bon peuple...

Pour exemple, un député voulait reglementé la pose des antennes... bizarement quand il est devenu ministre de la santé, plus question d'agir dans ce sens... on ne vaut decidement pas grand chose face au fric des grandes industries, je serai curieux de savoir si les patrons de bouig telecom, orange ou sfr ont des antennes en face de chez eux... je pari que non, c'est bizarre hein ???

Et ce n'est pas que je refuse la technologie, comme tout le monde j'ai un portable, dont je me sers pas mal d'ailleurs... mais je me demande les conséquences...

simplement, il serait facile de prendre des precautions pour eviter de noyer tous le monde sous des ondes pouvant etre dangereuse... mais ça a un coup, qui entrainerai moins de bénéfices pour les industriels, et une seul ferrari au lieu de deux pour les patrons...

Pour plus d'info :

Le danger des portables

Se promener dans Nantes à dos d'éléphant, vous y croyez ?

Non ? pourtant c'est possible... la preuve...

Hé oui, la ville est envahie de créatures bizarres et variées, échappées d'un livre de Jules Vernes...

Et il vaut mieux éviter de se frotter à certaines...

A ceux qui comprendront

LE LOUP ET LE CHIEN.

Un loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce loup rencontre un dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sir loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
" Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, hères, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré ; point de franche lippée ;
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "
Le loup reprit : " Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le chien : donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons,
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "
Le loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du chien pelé.
" Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître loup s'enfuit, et court encor.

Allez avec un peu en retard, voila quelques photos d'un week end avec un ami, pef.

avec au programme des séances de plages.

Petit jeu, devinez où est la crevette  si il y en a une, mais tres dur à trouver.

Bon, on ne va pas se laisser mourir de faim pour autant. vla la vedette.

Grande réflexion...

Et une dernière image pour la fin de ce tres bon week end

Lorsque le désir veut posseder, l'amour veut la vie.

Jean-Paul, qui sait ce que veut dire aimer

L'Amour le désir et le besoin de l'autre sont des choses différentes. Un amour construit sur le désir ou le besoin de l'autre disparaitra lorsqu'ils passeront.

Un désir ou un besoin fondé sur l'amour de l'autre seront solides.

Jean-Paul, en pleine réflexion

Du monde dans la rue pour manifester après l'élection de Nicolas Sarkosy comme président de la République. Par endroit, cela a été plus des émeutes avec voitures brûlées que des manifestations.

De mémoire, c'est la première fois que je vois ça à la suite d'une élection présidentiel. Mais si on fait le compte, les manifestants sont bien peu par rapport aux nombres d'électeurs, une petite poignée absolument pas représentative de la population. Et auquels les médias ont peut être donné trop de place, les encourageant ainsi.

Manifester, c'est non seulement exprimer son mécontentement, mais également contester quelque chose. Ainsi lorsque on manifeste contre une loi, on conteste cette lois. Ces manifestations ne sont pas contre une loi, une action quelconque du gouvernement, elles contestent l'élection démocratique même de Sarkosy. C'est donc la démocratie toute entière que les manifestants contestent...

Dans ce cas là, on ne peut donc plus parler pour ceux qui sont dans la rue de démocrates ou de républicains, en contestant les résultats de la démocratie, ils contestent aussi la république, la liberté du peuple de choisir ses dirigeants... Rien d'étonnant lorsque on sait que ces mouvements ont été lancé par des groupes anarchistes et d'extrème gauche, mais je me demande si tous les jeunes qui ont défilé se sont rendu compte du sens de leur actions...

Le grand homme n'aspire qu'à la petitesse. Quand il repose sur la couche moelleuse des privilèges il s'endort. quand il est bousculé, tourmenté, vaincu, il a l'occasion d'apprendre; il doutait de sa virilité; il se forgeait des certitudes; il apprend son ignorance; il est guéri de la folie de sa vanité.

Emerson

Bah oui je m'y reconnais, yen a qui en doute ? hihi

Je viens d'ajouter, une nouvelle galerie photos. la plupart de ces photos sont d'ailleurs déjà présentes dans ce blog. Le thème principale, moi...

Ma Gallerie

Bon, c'est vrai que ça peut sembler narcissique, mais est ce que ce n'est pas le but même du blog, de s'exposer ainsi, convaincu que sa petite vie, ses petites pensées interesseront des gens qu'on ne connait pas et qu'on ne connaitra jamais ?

Il y a quelques siecles, quand les gens avaient besoin de parler, ils allaient voir le curé à confess. et ainsi ils pouvaient se décharger de ce qu'ils avaient sur le coeur. Ensuite, au vingtieme siècle, les gens ont cesssé d'aller voir le curé, changement de moeurs oblige, pour aller voir les psy. Bon, cela coutait un peu plus cher.

Et aujourd'hui, ils ne vont plus voir le psy, ils exposent leur vie sur internet... Toujours ce besoin de parler, mais maintenant d'une manière froide, anonyme, sans retour... Je ne critique ici personne, puisque je fais la même chose en fait... Même si au départ mon blog est surtout destiné aux gens qui me connaissent, et que je vois peu, pour leur donner des nouvelles... c'est juste un constat...

Avec un fait réel, c'est que le blog déshumanise. on a l'impression de communiquer alors même qu'il n'y a aucune communication, chacun restant chez lui devant son écran...

Même constat avec msn d'ailleurs, on ne discute plus on se parle ia msn ou texto. avec la froideur de mots s'inscrivant sur un ecran ou plutot que la chaleur d'une voix humaine, d'une main qu'on sert...

Attention au piège, l'exces de moyen de communication en arrive à tuer la communication justement et à enfermer chacun chez soi...

Bon c'est bien beau tout ça mais c'est agréable d'etre un peu egocentrique de temps en temps

Pardonner, ce n'est pas oublié, c'est choisir d'aimer de nouveau

- lu sur le fronton d'une église -

Dimanche, grand beau temps.  Pas un temps à rester chez soi, en tout cas. Vive la voiture et vive l'essence payé par le boulot

La Roche Bernard, une vieille ville pas trop loin. Avec bien sur des escaliers, non je ne raffole pas des escaliers, je trouve juste ça joli.

C'est incroyable ça, je ne peux aller nul part sans être assailli de paparazzi...

Oh, et puis marre de voir la mer, petite ballade à grand canyon.

Bon finissons la journée par un bon petit repas

Et à la prochaine ballade