• Dimanche 04 novembre - Déjà un mois

    C’était une soirée en boite, les fameuses soirées étudiantes infirmières si réputées qui ont tant fait rêver mes anciens collègues.

    Rendez-vous à 23h30 avec quelques uns de la promo, sur la piste à minuit et c’est parti pour 3 heures de danses et de fêtes. Parfois un verre à la main, parfois une bouteille qui tourne. Quels importance de savoir danser ou non, tout le monde s’amuse et ce n’est pas un concours.

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    Pris dans la musique, le temps passe vite et on ne sent pas la fatigue venir. Une bonne manière de décompresser juste après la première évaluation, alors c’est le moment de faire un petit bilan de tout ça.

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    Voilà donc un peu plus d’un mois que la formation a commencer, et que je me suis vraiment retrouver dans le bain, à devoir apprendre et maîtriser un tout nouveau domaine, aucun rapport entre le bâtiment et la santé.

    A devoir m’acclimater à un nouveau rythme, aussi. Fini les soirées ou on rentre chez soi sans rien à faire, les week-ends et les vacances qui sont synonymes de loisir. Aujourd’hui il y a des cours à apprendre, des recherches à faire sur le net (heureusement qu’il est là d’ailleurs), avec l’échéance qui tourne, une horloge allant d’évaluation en évaluation. Une des première constatation, c’est que la vie étudiante demande beaucoup plus d’investissement que la vie salariée.

    Il y a aussi la promo. C’est clair on s’amuse plus avec les gars de la vingtaine qu’avec les trentenaires et leur vie de famille et leurs enfants et leur maison en construction et leur dernières magnifique opération professionnel et leur… bon je m’arrête là.

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    Je ne parle pas pour vous Gégé, Sophie et d’autres ;) vous me comprenez parce que vous connaissez la même chose et pour vous comme pour moi il n’y a pas de cap fatidique des 30 ou des 40, les meilleurs sorties que j’ai faites c’étaient avec vous. La seule chose qui me manque réellement de Nantes, ce sont nos ballades « à l’aventure » et nos tournées des pubs et des restos ensembles, nos découvertes des nouvelles zones comme les hangars à bananes. Ah si tous les trentenaires étaient comme nous… Parenthèse refermée.

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    Revenons au bilan. Il y a aussi le rythme quotidien qui s’est mis en place, donc levé 6h30, RER à apprendre des fiches sur les cours précédent ou à lire Métro, selon l’humeur du jour. Cours partagé entre la prise de notes et, parfois, les mots croisées de Métro justement. Et retours, comme à l’aller, avec une pause repas à midi. 7 gars pour 60 filles et il paraît que nous devrions être galant et les laisser passer…. Ouaaaaarrrrrrffffffff

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    Il y a aussi le doute bien sur. Etait ce un bon choix que j’ai fait, avoir lâché un métier que je maîtrisais, où j’étais reconnu professionnellement par mes collègues et la direction (reconnaissance verbal s’entend, les primes et promotions c’est une autre histoire). En fait, un métier ou j’avais du confort pépère, pour tous reprendre à zéro et changer de cap comme ça…. Ces doutes, je sais qu’ils seront là jusqu’à ce que j’ai mon diplôme, mais au fond de moi je sais que c’était le bon choix.

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    Bon retour sur la piste,  je ne pensais pas à tout ça en dansant, je dansais juste. Et le lendemain en cours, je riais de voir tout les ptis jeunes affalé sur leur siège et dormant épuisé. L’expérience à ça d’intéressant qu’elle apprend à se gérer et à s’économiser pour s’amuser et tenir la journée suivante.

    Dans trois jours on remet ça, et pour la nuit entière.


  • Commentaires

    1
    sandrineetvous
    Jeudi 8 Novembre 2007 à 23:55
    toujours vivant ? ...
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