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    Une belle chanson, qui va avec un tres beau film. Pour ceux qui connaissent le film, au fond on peut se demander si les mentalités ont tellement changées.... il suffit de laisser ces oreilles ouvertes pour savoir que non, pas tant que ça.

     
     

    Streets Of Philadelphia (Version Originale)

    I was bruised and battered and I couldn't tell what I felt
    I was unrecognizable to myself
    Saw my reflection in a window I didn't know
    My own face
    Oh brother are you gonna leave me
    Wastin' away
    On the streets of Philadelphia

    I walked the avenue till my legs felt like stone
    I heard the voices of friends vanished and gone
    At night I could hear the blood in my veins
    Just as black and whispering as the rain
    On the streets of Philadelphia

    Ain't no angel gonna greet me
    It's just you and I my friend
    And my clothes don't fit me no more
    I walked a thousand miles
    just to slip this skin

    The night has fallen, I'm lyin' awake
    I can feel myself fading away
    So receive me brother with your faithless kiss
    Or will we leave each other alone like this
    On the streets of Philadelphia

     

    Les Rues De Philadelphie

    J'avais des ecchymoses, j'étais cabossé et je ne peux pas dire ce que je ressentais
    Je ne me reconnaissais plus
    J'ai vu mon reflet dans une vitrine, je n'ai pas reconnu
    Mon propre visage
    Oh mon frère vas-tu accepter
    Que je me laisse aller
    Dans les rues de Philadelphia

    J'ai parcouru une avenue jusqu'à ce que je ne sente plus mes jambes
    J'ai entendu des voix familières, s'estomper puis plus rien
    Le soir je pouvais entendre le sang dans mes veines
    Aussi noir et murmurant que la pluie
    Dans les rues de Philadelphia

    Il n'y a pas d'ange qui va me rescaper
    Il n'y a que toi et moi, mon amie
    Mes vêtements ne me font plus
    J'ai marché des milliers de kilomètres
    seulement pour échapper à ma peau

    La nuit tombe, je repose éveillé
    Je me sens faiblir
    Accepte-moi, mon frère, d'un baiser sans espoir
    Ou alors nous nous quitterons dans la solitude
    Dans les rues de Philadelphia

    http://www.universound.ca/fr/chanson/1894/

    (1)La ville de Philadelphie est née du rêve de son fondateur, William Penn, qui souhaitait montrer un exemple de tolérance aux autres nations. C'est là que se trouve l'intérêt du choix de cette ville et le paradoxe, entre cette ville symbole de tolérance et l'intolérance vis à vis des personnes atteintes du Sida que cette chanson dénonce, ainsi que d'autres formes d'intolérance qui sont retrouvées dans le film 'Philadelphia'


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  • Juste de passage, un coup de pub pour le blog d'une amie de la promo  dont le sujet est... la promo infirmier justement

    Ifsi promotion 70 (ne me demander pas pourquoi 70, je n'en sais rien)


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    I was born long ago
    I am the chosen I'm the one
    I have come to save the day
    And I won't leave until I'm done
    So that's why you've got to try
    You got to breath and have some fun
    Though I'm not paid I play this game
    And I won't stop until I'm done

    But what I really want to know is
    Are you gonna go my way ?
    And I got to got to know

    I don't know why we always cry
    This we must leave and get undone
    We must engage and rearrange
    And turn this planet back to one
    So tell me why we got to die
    And kill each other one by one
    We've got to love and rub-a-dub
    We've got to dance and be in love

    But what I really want to know is
    Are you gonna go my way ?
    And I got to got to know

    Are you gonna go my way ?
    'Cause baby I got to know, yeah
     Je suis né il y a longtemps
    Je suis l'élu, je suis l'unique
    Je suis venu pour sauver le jour
    Et je ne partirais pas tant que ça ne sera pas fait
    C'est pourquoi tu dois essayer
    Tu dois respirer et t'amuser
    Bien que je ne sois pas payé, je joue le jeu
    Et je n'arrêterais pas tant que ça ne seras pas fait

    [Refrain]
    Mais ce que je veux vraiment savoir c'est
    Iras-tu dans mon sens ?
    Et il faut, il faut que je le sache

    Je ne sais pas pourquoi nous pleurons toujours
    Nous devons cesser cela et ne plus le faire
    Nous devons nous engager et réorganiser
    Et réunifier cette planète
    Alors dis-moi pourquoi nous devons mourir
    Et nous entre tuer les uns après les autres
    Nous devons nous aimer et faire du vacarne
    Nous devons danser et être amoureux

    [Refrain]

    Iras-tu dans mon sens ?
    Parce que chérie j'ai besoin de le savoir
    Ouais


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  • C’était une soirée en boite, les fameuses soirées étudiantes infirmières si réputées qui ont tant fait rêver mes anciens collègues.

    Rendez-vous à 23h30 avec quelques uns de la promo, sur la piste à minuit et c’est parti pour 3 heures de danses et de fêtes. Parfois un verre à la main, parfois une bouteille qui tourne. Quels importance de savoir danser ou non, tout le monde s’amuse et ce n’est pas un concours.

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    Pris dans la musique, le temps passe vite et on ne sent pas la fatigue venir. Une bonne manière de décompresser juste après la première évaluation, alors c’est le moment de faire un petit bilan de tout ça.

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    Voilà donc un peu plus d’un mois que la formation a commencer, et que je me suis vraiment retrouver dans le bain, à devoir apprendre et maîtriser un tout nouveau domaine, aucun rapport entre le bâtiment et la santé.

    A devoir m’acclimater à un nouveau rythme, aussi. Fini les soirées ou on rentre chez soi sans rien à faire, les week-ends et les vacances qui sont synonymes de loisir. Aujourd’hui il y a des cours à apprendre, des recherches à faire sur le net (heureusement qu’il est là d’ailleurs), avec l’échéance qui tourne, une horloge allant d’évaluation en évaluation. Une des première constatation, c’est que la vie étudiante demande beaucoup plus d’investissement que la vie salariée.

    Il y a aussi la promo. C’est clair on s’amuse plus avec les gars de la vingtaine qu’avec les trentenaires et leur vie de famille et leurs enfants et leur maison en construction et leur dernières magnifique opération professionnel et leur… bon je m’arrête là.

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    Je ne parle pas pour vous Gégé, Sophie et d’autres ;) vous me comprenez parce que vous connaissez la même chose et pour vous comme pour moi il n’y a pas de cap fatidique des 30 ou des 40, les meilleurs sorties que j’ai faites c’étaient avec vous. La seule chose qui me manque réellement de Nantes, ce sont nos ballades « à l’aventure » et nos tournées des pubs et des restos ensembles, nos découvertes des nouvelles zones comme les hangars à bananes. Ah si tous les trentenaires étaient comme nous… Parenthèse refermée.

     <o:p></o:p>

    Revenons au bilan. Il y a aussi le rythme quotidien qui s’est mis en place, donc levé 6h30, RER à apprendre des fiches sur les cours précédent ou à lire Métro, selon l’humeur du jour. Cours partagé entre la prise de notes et, parfois, les mots croisées de Métro justement. Et retours, comme à l’aller, avec une pause repas à midi. 7 gars pour 60 filles et il paraît que nous devrions être galant et les laisser passer…. Ouaaaaarrrrrrffffffff

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    Il y a aussi le doute bien sur. Etait ce un bon choix que j’ai fait, avoir lâché un métier que je maîtrisais, où j’étais reconnu professionnellement par mes collègues et la direction (reconnaissance verbal s’entend, les primes et promotions c’est une autre histoire). En fait, un métier ou j’avais du confort pépère, pour tous reprendre à zéro et changer de cap comme ça…. Ces doutes, je sais qu’ils seront là jusqu’à ce que j’ai mon diplôme, mais au fond de moi je sais que c’était le bon choix.

     <o:p></o:p>

    Bon retour sur la piste,  je ne pensais pas à tout ça en dansant, je dansais juste. Et le lendemain en cours, je riais de voir tout les ptis jeunes affalé sur leur siège et dormant épuisé. L’expérience à ça d’intéressant qu’elle apprend à se gérer et à s’économiser pour s’amuser et tenir la journée suivante.

    Dans trois jours on remet ça, et pour la nuit entière.


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  • Etes vous un connard prétentieux? moi oui à 42 %

     


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